Les techniques pour ralentir le débit à la source tels que le stockage des crues et la gestion naturelle des eaux avec des aménagements pluviales par exemple. 

• Ces techniques n'ont toutefois pas été retenues puisqu’elles nécessitaient beaucoup de travaux et ne réduisaient pas les risques d’inondations causés par les marées.  

Les techniques à la source qui empêchent les fortes marées à aller dans l’estuaire, tel que des barrages et des barrières de marées, comme celle présente dans la Tamise à Londres.  

• Ces techniques n’ont pas été retenues dû à leurs coûts très élevés et à l’impact négatif sur les habitats bâtis et fauniques, tout en augmentant possiblement les risques d’inondations en amont de ces structures. 

Les techniques de tracés qui permettent d’augmenter la capacité du transport du débit de la rivière, possible avec un dragage ou un canal alternatif. 

• Ces techniques n’ont pas été retenues puisqu’elles augmentaient les risques d’inondations par marées, étant donné qu’une plus grande quantité d’eau pouvait pénétrer dans le territoire.

Les techniques de résilience avec des récepteurs spécifiques qui permettent alors d’augmenter la capacité des personnes, des biens et de l’environnement à résister aux impacts des inondations et à se rétablir rapidement. On peut penser par exemple à des plans stratégiques, des portes anti-inondations ou même des bâtiments anti-inondations.  

• Ces techniques ont été retenues, à un certain point, étant donné que le risque d’inondation dû à l’intensité des inondations prévues dans le prochain siècle ne peut être diminuer seulement avec ces techniques.  

Les techniques adaptatives qui présentent des avantages significatifs en termes d’efficacité économiques et d’impact environnemental. 

• Ce sont ces techniques qui ont principalement été retenus dans le cadre du Bristol Avon flood strategy. En ces termes, il est prévu que dans les années 2020, des infrastructures de défenses seront surélevées à certains endroits le long de la rivière à travers le centre-ville. Puis, dans les années 2060, ces défenses seront encore une fois surélevées et d’autres défenses seront créées si nécessaires. Au cours des années suivantes, d’autres analyses seront faites afin d’évaluer la nécessité de créer des protections supplémentaires le long du cours d’eau.